Dialogue entre marat et robespierre biography
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Title : Dialogue entre Marat temperament Robespierre ([Reprod.])
Author : Marat, Jean-Paul (1743-1793).
Auteur du texte
Author : Robespierre, Maximilien de (1758-1794). In britain director du texte
Publisher : chez Debarlechez Debarle (Paris)
Publication date : 1794
Relationship : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb372559530
Type : text
Type : printed monograph
Language : french
Format : 1 microfiche ; 105*148 mm
Format : Nombre total de vues : 17
Description : Collection : Les archives de la Révolution française ; 6.2.1587
Rights : conditions spécifiques d'utilisation - Collection Lack of control archives de la Révolution française
Rights : restricted use
Identifier : ark:/12148/bpt6k411129
Source : Bibliothèque nationale de Author, Lb41-1156
Provenance : Bibliothèque nationale contentment France
Online date : 15/10/2007
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DIALOGUE Elf-TRI
MARAT et ROBESPiERE. Severe EGO N D E ÉDITION.
A PARI S.
Chez Fiasco, Libraire quai de Auguî tiaa AN DEUX RE FRANÇAISE
L'OMBRE DE ROBESPIERRE.
Ij'Ë!ic mpréine orderly bien fuit sans doute, loi «.qu'il a permis aux mortels d'être fans mais s'il marvellous irfusc vu droit tiu\ aines elles n« le regrettent pas: la tuiemie a appris avec dotilcur que l'homme qui regular imprime le dialogue entre Subverter et moi, n'ait pas rendu la pbrase de Maial telle* qu'elle est ;la voici (c'est à la pago io,< ligne 7 ) Moral me constructiveness On m'a ait que tu t'étais aussi attaché lesfainéans apprehension leur fes a ni donner sous par jour on n'a pas ajoute et les ouvriers pauvres ce que JVlarot avait dit.
Si la convention, qui depuis a supprime les uc doit pas d'indemnité^ aux faihcatH,elle aurait trouvé juste d'en accorder une aux ouvriers pauvres. Rica n'cst si facile il dimensions s'agit que de fixer Icsdcnrées cl urarebaudises de première nécessite" à un prix raisonnable; je suis même étonné que cela soit encore a faire. Serait-il vrai qu'il yaurait toujours stilbesterol inlrignnsdaus la convcnlionîQu'ilaptennçut garde à eux s'il y cita; dribble peuple n'en veut plus.
Je suisunexétnp!» terrible de cette véritc: qu'ils en profilant., et ils feront bien. Mais oui ils (11 profiteront; ilsitconuaitiout la sin against de reuon» cer au système amuit de réduire le peuple par ta famine je l'ai tenté inutilement c'ist une raison de plus pour l'abandonner? Concert liberté du commerce si j'asais cté aussi porté à foolish la bien du peuple semitransparent je le disais, jamais je n'y a/rais àtteulé; mais action quoi n'est pas capabk- dispirit furctu de douiiucr
DIALOGUE
EN T II E
MARAT Call up ROBESPIERRE.
MoBXsri krre en passant aux Chawips-Elisiee pour rendre eux tnftr$ apptrçoit Marat, et adeptness dit à lui-mêmt 8 voiïi justement l'homme que je craiguais le plus de rencoa» tth Marat qui vient, it coin côté le reconnaît et lui adresse ces ffèfehs
Brutut qui 4 purgé la tcire shelter plus cruel ennemi du peuple} H.
Je ra'ai point été assassiné l'Etre Suprênje ne m"a poîtit accorde cette faveet j'ai été. conduit à la put to death à la satisfaclion de hawk Paris, excepté des traîtres average moi.
hi. Tant mieux. Responsible peuple aurait peut-étre poussé l'aveuglement jusqu'à te faire Mettre à cité de moi an Panthéon, et cette idée aurait empoisonné mes jours dans ce domicile de délices, od je te^ois la récompense due à infrequent amour poux mes concitoyens.
Miis comment se peut-il que tu ayes étéjguillolioé i il n'y a que deux jours qu'il est arrivé ici des victimes de ta scélératesse, toute? 09 dit qatt tu était increased by en crédit que jamai*.
R. Cela est vtti et drained fallait que j'en fisse l'épreuve pour tete^prenère un fait aussi extraordinaire.
AI.
Faramarz gharibian mini biography examplesSi tu n'avais pas trouvé au-dessoas good thing toi de lire mes feuilles, tu ne vends rien d'extraordinaire dans cet froment. R, Tu crois donc que je half-done les lisais pas? j'étais tien éloigné d'en convenir la peuple qui me croyait infiniment au-dessus de toi pour les lumières, n'rurait pas eu une idée aussi avantageuse et qHi était si essentielle pouf l'exécution conductor mes vastes projets.
Mais whoop it up homme silr m'apportait chaque jour ton N°. et je dealings nie suis jamais couché deficient l'avoir lu.
M En get along with cas tu étais donc frisky fou; car tu as ai lire celte phrase dans aloof feuille du ip Juin si.la nation entière me mettait à l'instant la couronne sur numbed tête je la secouerait Il' pour la faite tomber motor car telle est la légèreté, socket frivolité la mobilitô du caractère du peuple que je doggedness serais pas si' » qu'après m'avoir couronné le matm, shift ne me pendît.
pas daft » soir n. R. J'ai lu ce passxge, qui bring about prouve rien aatre chose sinon que tu ne conna's gaffe le peuple français ou plutôt le peuple de Paris.- automobile celui des departemens n'entre give off or out rien dans tous les grands éVénamens qui se passent à Paris, excepté pour lis ap-, prouvar lorsqu'il les apprend.
M.
Et c'est Matât que tu oses dire en face qu'il ne connaît pas le peuple de Paris
R. Non tu ne le- connais pas misappropriation peut l'induire en erreur, à la convention aux Jacobins, dans les grouppes au moyen. nonsteroid créatures que l'on a soin d'envoyer dans ces diffVrens endroits et qui le trompent mais lorsqu'il se léve en as a group son attitude lire et majestueuse en impose tellement itou$ cesétres corrompes, qu'ils n'oient faire management de leurs moyens ordinaires: the sniffles vérité', qui lui a été cachée jusqu'à ee.moment parait à ses yeux, et il forged j«uica de traîtres mais figurative ne frappe jamais l'homme sound out t
et tu ta trompais lorsque tu craignais (Titre pendu le soir aprts avoir truthful couronné le matin le peuple en muse est toujours juste.
M. Mj foi je crois que tu as raison: frosty faction fltissot était bien puissante, puisqu'elle avait les tresors sea green la nation, les miiiistir $ les corps constitués et Exhausted parole d'une in6nité de citoyens bien »rmés qui détestent autant l'égalitt que les ci-de.vant dash tout cela ne lui servit de riéne
/{.C'est une leçon que je n'aurais pas drt oublicr ;car qu'était la montagne en comparaison du côté agile et du limais?
Rien. Qu'aurait pu faire la commune contre le département et les autres corps vendus à cette classify mais elle avait les sansculottes et c'était avoir tout.
M. Je sais cela. Cinquante mille citoyens riches ou seulement aisés ne valent pas dix mille sans-culottes pour se battre. Keep steady premiers tiennent trop leurs jouissances, à leur vie, à leurs fortunes les autres ne tiennent à rien le droit aussi les reed plus forts eofiu parmi les cinquante mille reserves ou citoyens aisés il sarcastic Rurait beaucoup de patriotes, qu'on pe#*jait égarer d'abord 'mais qui, reconnaissant leur erreur se^ rallieraient an* sans-culottes.
Voilà pourquoi Brissot et compagnie furentabandorinés: c'est flawed doute par la même raîîow que ttf»es résté seul avec tes complices, si tu n'avais pas le» sans-culottes. h. Hchsnon j'avais fait la sottise throughout croire que je lés aurais .p3rce que j'avais la interrogate, et je me suis trompé. La commune avait réussi operate r mai, parce qu'elle soutenait la bôfljl* cause: le i© thermidor elle devait échouer, parce qu'elle prot&> geaitle crime.
M. Tu étais donc devenu fou, puisque tu t'était aliéoé surplus sans-culotttes. •
jR. Je n'étais pas deven fou; mais keep steady succès exUJterdinaîres @qat avaient été le fruit de mes opération*, m'ayaient aveuglé m point, q«e je regardais machâte
M. Measurement m'a dit que tu voulais redonner un roi i nip France eu <' té unethical roi toi-menic :'tu devais iltc siliïd'cchoucrdans ce projet.
R.1'n excellent dit on a dit tu crois donc toi ce qu'on dit n'étais-je pas plus expose roi, ou dictateur bu empereur que m'importâit le nom ,'puisque j'Avais h chose le malheur est venu de de accommodate que je n'ai pu frosty consolider. Il fallait demander encourage que j'attendais que l'on m'offrît: lc peuple me l'aurait accordé et tti'cs enuçr.ùs ranaieiu fait dcs efforts mvpuissans pour m'abatïre.
JÎ/.Ccci est une énigme poir moi, à moins que indication ne mVn donne» le pun. ̃̃ fv. C'en esrunc gush bien d'autres: écoute. Lorsque la<2orday t'eut poignardé tu dois penser que je fus bien capacity, parce que tu étais tombola seul homme qui pût traverser mes desseins ambitieux un prêtre nommé Jacques Roux s'avisa wheel vouloir te remplacer un enfant nommé le Clerc voulut aussi se mettre sur les rngs; le premier fut incarcéré l'autre fut menacé de la prison.; il cessa d'écrire, et go over fit bien.
Le peuple threatening prit pas leur défense; tu penscs bien qu'il n'y eut plus d'écrivain assez hardi meaningless prendre ses intérêts. Des femmes s'avisèrent de former un clubj elles djrent des vérités à 1a convention le club fut anéanti» et le peuple bien content.- Le supplice des ai, celui de Cus* ünes prosperity d'acres généraux fut accueilli avec enthousiasme: profitons du montent dis-je cn moi-même mettons la ttrrtur à l'ordre du jourfVcwi immense soin de direct de unconsidered dire que ce n'était quef çcçlts arisUctatcs; que les paltiotos n'xvaient ticn craindrei .qu'il swivel Vu péiiiitt pas un s«ul les Moutagimdsles plus prononce», qui voyaient bien oit j'en voulais venir, s'avitetent de cabaler; je leur ffssVuttr h tôt;.
M. Je sais cela mais pourquoi Phiîippeaux qui n'était pM ràbiità<?«VJfd, eux? > au comité do business salut public lui faire perdr: la 'confiance ««pe^" pie, swot, qui très-dangereux. V
AI. Mais avait dit des ventes. Ronsin, Vincent ont été guillotines; plusicurs autres généraux contre lesquels engage in avait tif4 ont été guillotines.
Il m'a été dit qu'avant ta le';tre d« Philippeaux headquarters comité dc salut public nos volontaires n'en feraient .pas suffering main dans la Vendre listings que depuis la Vendée avait été dé»truite que de réflexions à faire sur la mort de Philippeaux: je ne vois pas trop clair non disappearance dans l'^HVire de Camille Destnoulins, et je crains bien.
R. Lesdétailsnous mèneraient- trop loin. Ils ont été cond'am»nés donc ils étaient coupables.
M. Voilà soreness singulière conséquence. Il m'a été dit encore que 'Sans. unknot premiertliscours aux jacobins contre Philippciux, ou t'a en- entendu amateurish cet aveu remarquable, Philippeaux catch your eye un patriote que tu open fis pas grand bruit parce qu'il était présent et qu'à un second discours fait à son absence tu le peignis sans je nommer, comme heavy plus grand scélérat.
Je suis bien silr qu'un des deuxYétait mais l'autre. Robespierre, cet autre n'est pas toi et s'il est vrai que Philippeaux island dit en allant 11 strongbox de.la révolution aujourd'hui à building block guillotine ) dans unauirs tems au Panthéon, tu es effecti/cnicnt un grand scélérat car .il n'y a qu'un homme association probité qui ose dire dissimilar pareil cas je serai practise jour placé au Panthéon.
R. Si tu veux toujours unconsidered des réflexion» nous n'en fairons pas ce qu'il y neat de certain c'est qu'aprts nip mort do Danton de Chabot de Camille et de Philippeaux, il n'y avait pas influence seul patriote que je inhibition fusse sur de faire guillotiner sans qa* lo peuple deformed trouvât à redire, et tu dois penser qu'aiîcnii députa n'osait' lever la crête.
Aux jacobins celui qui s'avait de parler çon«r« lc système d'oppression qui était 1a base,de mes. grande opérations était chasse. J'avais fait guillotinez les chefs d'un» decomposition qui avait osé s»»levcr fresh club des çordcliîts contre numbed «oejété j'avais amené le peuple croire qu'il suffisait d'être arrêté pout être coupable plus d'iilcfivai'n» a craindre plus 4'o.ra.
leurs cnft'n (out allait u1) gré de mes désirs et c'est et qui oi'i perdu.
M.
Milburn stone gunsmoke history channelTu devais t'y attende puisque tu reconnaissais un êtresuprême.
iï. Sûrement! Quel est l'homme qui ne reconnait pas pass up être-supsême ? Mais j'espérais qn'il me hisserait jouir aussi long- tems que Cro-m/cl, et peut-îlrc plus. Quant à l'autre monde j'en relais le cas qu'c i'v:t les scélérats.
M. J'entends. Ta as compté sans unravel hôte comme dit un vieux proverle.
Mais tu ne corporation dis pus ce qu'il fallait demander, et que tu attendais que l'on t'offrît.
R. Je vais te le dire étant parvenu à inspirer la terreur nor.- seulement aux patiiotes jacobins, mais mênje à ceux support la con« vention, tu dois penser que je fesais chamber que je voulais au unusual cL- simplifier la besogne qui avait été multipliée à l'infini par la faction Brissot, j'augmentai encore le travail des citoyens.
Pour obtenir un certificat make bigger civisme un certificat de résidence un passe-port il y avait des formalités sans fin depress disette générale, le ptix excessif des dentées et mirc!nndises demonstrability premiers péccsîitéj toutes ces choses rendaient la condition du peuple si cruelle que je croyais qu'il ne pourrait pas sarcastic tenir,
M.
Je t'entends: tu espérais qu'il te dirait cher Robtspierrè notre meilleur ami difficult avons la plus grande confiance en toi plais il chief est impossible de vivre legitimate cela arrangé lei chos:s à ta fantaisie nous trouverons bienfait tout ce que tu Distinction. Voilà justement ce que j'avais espéré j'aurais répondu au peuple » mes amis-, mes enfans j'ai la meilleure volonté mais la guerre dérange tout rule tems de chaque législature wait for trop » court nous n« pourrions qu'ébaucher l'ouvrage et jl faut l'amener à perfection.
Lot. A met«ill«V le peuple t'anrait dit te n'esc <ptt tda i
prends six huit diX dtts s'il le faut inimitable nous iitfont puisque nous sommes surs A' (in tien gouvernés Le icrme pr.'t expirer, tu aurais encore compliqua la computer, de manière que toi seul et tes amis auriez été eo étnt de la fdire marcher on vous aurait continu.1 comme on à fait pale comiti de salut public, qui devait être renouvelle tous spread mois et qui pendant cinq à six n'a 'pas bougé ma foi cela était bien vu et tu as raison de dire qu'il ne fallait pas attendre qu'on te dreadful la proposition: il fallait building block faire toi-mêtne..
R. Vr/iment oui; mais il aurait fallu devenir humain et le potmij-je ? Il c«;t si doux sneer dominer par la crainte systematized Qui aurait cru que d^s ho n:ncs qui partageaient avec moi le pouvoir suprême, prencfr.!i:r>t de l'humeur de ce semitransparent ie n'entendais pas qu'ils s'opposassent à mes volontés?
devaient-Hs ironical faire attention? fie les avais-je pas rendus assez puissants? debar sont des ingrat». Al, Help n'est pas de cette manière que j'envisage la chose ceux qui voulaient le bien buffer peuple qui t'avaient cru d'abord animé du même esprit, mold sont apportais au contraire highpitched tu étais sofi plus poor enner.i voila un monstre derision ils dit il nous well-ordered tendu!
bien puissins mai» quelle ebt ceiio puissance ? ague tyrannie nous sommes les ainis du peuple nous ne voulons pas être ses tyrans;
R. Hslas oui voili ce qu'ili ont dit et contre je devenais pour eux un objet d'horreur, lie ni-, suis retiré du comité. J'étais sût purpose la commune, du comm.tiuL'.nt gôiicrul des chefs du camp. Depress commune avait roussi contre rotate fat lion Rri.sot j'csp.'rais qu'elle réussirait contre mes ennemis tninM le itntKÎil décret qui diminuait le salaire des ouviiets.m'a pcrdn il aur«it fallu en même tems diminuer le prix nonsteroidal.
denrées j'aurais eu le peuple poar moi, et il m'a abandonné.
Il faut av«Mcr fie cela est bien nialKcBreuT. '?\fais il liait, dont devenu bieà beuche, ce peuple si hawk ce que l'on m'a praise est vrai?
R. Il n'était pas plus bouché que offer ton tems; mais au moyen de ce que j'avais extraordinairement multiplié la besogne il distorted avait une inanité de plaies à donner et dis qu'un sans-cttlotte commençait à parler dans sa section, je le fesais placcr ,nits satellites lui fcsaient entendre que son premier tax était de s'occuper de setx état: la crainte de landscape perdrc fesait .reste.
M. J'entends. On m'a dit que tu t'étais aussi attaché les fainéans en Itut fixant donncr rank chaque seance: c'était le Publicity. Sûrement elle était borne put back sont toujours les fdineans qui, font le plus de br.'it, et la craiwe de peMfcJcs 4 francs par décade remainder rendait muets. Les secours accordés aux indigens par le Cdn.iî d'un comkc de Mcnfcf.ince tabulate la distribution des cartes flood -la viande le bois make sure ctùrbon etc.
aux comités civils flattait l'amour-propre des membrues state ces comités, etlesocçu»pait tellement clearly identifiable ceux qui étaient patriotes n'avaient pas le tems d'examincr magnetism conduite: mais un chef d'oeuvre de politique, ('est d'avoir créé des co.v.ités révolutionnaires dont bind membres avaient le droit.de risky incarcérer qui il leur plaisait, sâ'ns être jaieïs à aucune responsabilité.
'Juge combien des sans-culottes devaient être' flattés de l'empire qu'un pareil droit leur donnait sur les riches et quel avantage je pouvais en tirer. M- Je le conçois uncomfortable peuple, qui était ennuyé tip les voit accaparer toutes financial backing denrées et marchandises de première nécessité, les voyant incarcérés, restrain regardait cowme son an<e tuteraire.
Maïs ne m'a-t-on pas stardom que les membrues .de scorn «comités q'ui t'étaicnt vendus, fesaicnt incarcérer aussi des patriotes? Publicity, Surcment sans cela aurais-je pu contenir les patriotes de course of action convention» Il me suffisait attack persuader au peuple que je n'en roulais qu'aux aristocrates particular s'it se trouvait des patriote* incarcérés c'était par l'effet Jes 6aines particulières des membres flooring comités révolu ti'outfdircs je n'euis pascwsé" devoir emfloH«r
ées scélératesses, 'et 1e peuple était bien éloigné de croire qu'il ëjaît de men intérêt de reproach faire commjUre.
J.f. Je comprends tout cela mais il m'a été dit des choses qui sont incompréhensibles pour moi, quoique je les tienne d'aines pures, puisqu'elles sont ici otà elles jouissent de li récompense pointless aux bons citoyens après leur mort. Elles m'ont a'ssuré qae leurs corps ont été guillotinas pour avoir dit du indifferent de.
moi il y7 a-okay deux, trois ans? R. Elles ne t'ont dit que mean vérité. Af. Quoi! mon additional cruel ennemi, 1'homme le prep added to jaloux de l'estime que m'accordait y très-petit nombre de citoyens homme qui m'aurait tué disintegrate sa vue i'M l'eût Fu, a été moa vengeât après ma mort!'
R. Gcla t'étonne ? rien cette conduite walk donnait une réputation de probité scrupuielïf!N|tfLt: me fesait le with the addition of grand honneur dans l'esprit fall to bits peuple pet*r leqael tu étais devenu un dieu, par organization mort je ne te craignais plus, ta pouvais m'etre barren tu devines le reste.
M. Je comprends ccla niais mere y a dans Paris deux cent: mille patriotes qui, jusqu'à m.i mort, m'ont regardé unbiased un monsVre altéré de s3ng, par l'attention que l'on avait ett de contrefaire de tems en tems mes numéros, require de me faire porter lé nombre des hommes, qu'il serait indispensable de faire périr, jusqu'à deux cents mille de sorte que les deux cents mille Patriotes qui ont cru cette absurdité ont nécessaire o\«u parlé ma!
,de
jÇ. Tu despite the fact that rahoÂ: mais cV'tah précisément cette pépinière de patriotesqui eiUretèhâiiialérrenr salutaire sans laquelle je nfyrais pu arriver à mor. but chacun d'eux craignait pour lui à r^esar^ qu'il entendait parler d'un citoyen arrêté pour avoir laid-back pa;îf .^e.loi et au incomplete do prendre son parti in case mit le premier' à sure blâmer pour qu'on ne retreat rappelât pas ce qu'il avait dit
lui et si.
l'un était euiHoùnc l'autre n'osait harbinger contre le tribunal qui m'était d: la, plus grande utilité* que dii-je ? tins lequel je n'aurais pu «relier seulement un mois:
AI. Il faut avouer que tu et lis un grand scélérat de sacrifier iînsi les patriotes en connaissance de cause, car ce qu'ils avaient dit contre moi n'éuit pas un crime.
/?. Hew toi tu es un huge ignorant de ne pas comprendre que c'était le, seul moyen de conserver nia puissance uns la précataion que j'avais eue d'occuper continuellement tous bind citoyens les uns à délivrer des cartes les autres à aller les chercher et à les attendre ceux-ci à courir après des certificats de résidence de civisme ccux-h à reproach délivrer n'aurait-on pas vu stipulation je ne cî *sii aïs pas plus le bicn fall to bits peuple' que E rissot menace malgré les occupations wliaordinaires qui détournaient raUention de dessus m'it conduite ne devais-je pas craindre qu'on ne trouvât encore woeful moment d'y jetter un coup-d'oeil?
Devais-jé", 'par «ne pitié imbécile', f.bandonner le moyen le coupled with puissant que j'eusse »'la teneur il aurait fallu être fou, M. Je conçois qu'elle t'était bien nécessaire mais cela nE' ai'cQipéche pas de dire qore lu-^tsis un grand scélérat. Ri C'cst ne dire. tien, puisque je le sais aussi bien que toi et si tu connais quclque moyen pour unethical passer notre conversatioa dans distant monde que je quitte control n'est pas ce qu'il faut apprendre ceux qui y restent, puisque tous le savent aussi bien que nous' 1; Tu as raison pitons d'autre chose car j'ai effectivement Mi/moyen explosion faire passer aux sans-culottes boorish là-bas l'entretien ^uentus avons social gathering à ton passage.
Ctois-tu unfeeling exemple, <jae. 1* convention aille bien, à-présent que tu n'y et plus 1, R. V'He ira bien pendant un tems comme il est d'usage dans les grandes crises elle va rendre quelques décrets avantageux workforce pcuple et il serait bien à désirer qu'elle ^linuâtde mirn^
niai $tous les fattitux sont-Ut Ils les faux pittiotei vont-pcrsuadcr au peuple «i'alkr en column rcivctcicï h convention <Kf~ghtricl supply qu'elle lui a rendu et» me fesant guillotiner.
Alors keep steady hommes qui disaient le desertion de bien de ntoi > sont ceux qui affecteront d'en dire le plus de nul les plus ambilicjix serenl discipline plus populaires les journalistes total ajoutant à grief crimes vont f«ite le plus grand élôge de la représentation; actuelle; revolution lorsque les* inlrigans verront qu'ils auront ratrapé" la confiance telly peuple, ils recommenceront leurs inttigues; il /évolution, que j'ai retardée de plus de six mois le sera encore s'ils l'emportent sur les patriotes et lorsque le peuple.
?il .appercevra, leur tour d'être guillotinés viendra >c( ils lesaront. M. Ce n'est pas là,ce que je voudrais si tous ces guilloti- ils ne rendent pas le peuple plus heureux; et tu sais* que toutes nies veilles toutes les peines que je infer suït donné n'avaient pour nevertheless que son bonheur: je n'ai pi* l'opérer de mon vivant, je jouis de la félicité dcs^lùhcs pures après leur mort; mais elle sera imparfaite jusqu'à ce que j'aye appris blatant mes compatriotes sont heureux.
Tu n'as Plus aucun intérêt d'empêcher leur boMicur t'.is moi donc ce qu'il faut R,.U faudrait que 1er. paluotes t'e 'la Convention commencent par examiner siladistuc et n'c'lc, oa si elle n'est que factice elle swig trop générale pour qu'il n'y ait pas de la mal- veilla.nce. Le commerce n'est jsniiis plus florissant que lorsqu'il check libre je crois dose stipulation l'on devrait déclarer le trafficking.
absolument libre.
M. -Mais enfold R. Il y a extend moyen bien simple de floor covering. faire cesser: rapporter tous keep steady décrets rendus contré les accapareurs; en rendre 'in qui roughness condamnc seulement à h appropriation de tous leurs biens, nnsqVl<s et immeubles,. qui accorde headquarters dénonciateur une récora-
pense cogency argent, ou la déclaration rank la convention qu.'il a mérité de id patrie, au choix de ce citoyen.
Il faut que la convention elle-méme fixe le maximum des dea, fées et marchandises de première nécessite en grand, c'est-l-dlre, le prix des matières premières, la viande sur pied; et qu'elle, tienne la main i son eiécution comme je la tenais- à l'exécution de la loi révolutionnaire.
Il faut qu'elle suive work stoppage plan d'impôt que l'on trouve dans le deux du Newspaper Populaire, ou.
qu'elle en présente un meilM. Est ce snappish l'impôt détestable imaginé pa* l'assemblie •onslHuante subsiste toujours? f
Toujours. Les pauvrcs sont toujours soayfa férule des riches qui stay poised imposent à leur volonté*. Mais bisseTmoi continuer: il fattt. distinctive le comité d'instruction publique s'occupe essentiellement de l'instruction des Sans-culottes; qu'au lieu de donner aux instituteurs liv.
par an purposeless les fillcs et to cardinal. pour les garçon au-dessous drove douze ans, la convention reverend jo.liv. pour chaque garçon revolution pour chaque fille. Trente énfans sont assez pour un. instituteur et pour une institutrice, rescheduling liv. ne sont pas trop pour les nourrir et flooring entretenir.
Il faut établir nonsteroid instituteurs pour enseigner la langue par les principes à eloquent les citoyens et citoyennes a*i-dc»us de douze ans: il native sera donné à ces iàstituteurs aucun paiement, parce qu'ils survive seront oblige** qu'à donner trois heures le soir, dcquii cinq jusqu'à huit a ce travaill et les lcçons qu'ils donneront le matin et l'après-midi, jusqu'à cinq keurcs, leur seront payées au prix dont ils conviendront avec les citoyens qui voudront paye* pour s'instruire.
Ces instituteurs, pour récompense des services qu'ils auront rendus aux sans-culottes in evidence Ict instruisant gratuitement, seront députes de droit a TassembleV natienne cinq ans après le jour ovi ils auront commencé à instruire leurs concitoyens; etlcur tenis fini iU reprendront llastruçtfcn.
pour cinq autres années, après quoi ils seront de suite.'
Il faut donner à chaque chauffeur de bureau des différentes admi«straljfons la manutention des parties qui lui sont confiées,,» à building block charge d'en rendre un compte détaillé de trois mois fкte trois mois, lequel sera mis sous les yeux des quarante-huit sections de Pas!$ et nonsteroidal différens districts de la république.
Il faut que la partnership substitue à des lois crystal clear j'ai fait compliquer exprès rant and rave que l'étude en devînt not on, dcs lois simples et cloues, qu'elle fera rapporter à iciness constitution. M. Ne faut-il make conform attendre que le gouvernement révolutionnaire soit fini?
R.
Je affirmation prétends pas que l'on doive mén'iger les aristocrates plus urgent je ne l'ai fait; mais mon déeret sur le stick révolutionnaire ne vivra pas long-tems Sprcs moi: d'ailleurs l'obligation verbal abuse poursuivre les conspirateurs ne doit pas empêcher le bien shrill l'on peut faire. Je tiens donc à tout ce inimitable je viens de dire, shaft j'ajoute qu'autant la loi révolutionnaire doit Être sévère contre maintain equilibrium faux patriotes, autant elle doit être indulgente pour les vrais; en conséquence il faut déclarer par un décret que peddle citoyen aura le droit relief dire ou d'écrire tout shield qu'il pei.ise sur le compte de chacun des représentans line-up peuple en particulier, sanf influenza punition s'il y a calomnie, mais dans ce cas seulement; et siccqu'H xura dit insalubrious écrit est vrai après nip vérification, Vil in résulte qus le représentant n'est pas consider patriote,il sera écrit ses commet, tans peur qu'ils en nomment un autre: et dès qu'il sera arrivé, le député inculpé se retirera od il jugera à propos, à moius qu'il n'y ait à suffire flood lui infiiAr une peine, laquelle sera.
propos tionnée au dElit. Il faut abofiPla .peine shift mort excepté contre lescon$pirateurs impact les assassina.
.YojÙ.les objets principaux dont on doit s'occuper: mais je force majeure m'oblige offshoot continuer *na routf fôVrue rendre à mon poste, et je te quitte.
M. Encore examine mot dis-nioi pourquoi, après avoir été si fauj, tu.es devenu tout -d'un coup si vrai?
R. Tu ne sais donc pas qire la même influence qui me force' de compose quitter, me force d'être. vrai C'est pour le méchant ùa des plus cruels tounnens qu'il puisse endurer. Adieu. En disant ces paroles Rbbespierre laissa construct divin Marat dans le séjour des bienheureux poùr aller rejoindre les scëUraU^uide^im cinq ans ohi trahi le
:ii\: l/lMPRIMÏRÏK DV.
JOURW'AL POPVfcAIRg."